Tout est affaire de décor pendant le confinement
Le Devoir Stéphane Baillargeon
20 mai 2020
Le Devoir Stéphane Baillargeon
20 mai 2020
Bibliothèque érudite, photos au mur, plante… la crise pandémique a développé sa logique esthétique bien à elle, dont l’un des volets principaux est la présentation de soi aux écrans. L’accentuation de cette vie en ligne vient avec son lot d’avantages et d’inconvénients. Parmi ces derniers, une fatigue un peu particulière, comme le souligne Mélanie Millette, professeure au Département de communication publique et sociale de l’UQAM. « C’est très fatigant cognitivement d’être constamment exposé. Après deux ou trois réunions Zoom dans la journée, on est épuisé et on n’a pas envie le soir de faire un souper ou un apéro Zoom en plus. On revient donc vers le bon vieux coup de téléphone. »
Spécialiste des usages des nouvelles technologies, elle explique que la présentation des régions antérieures ou postérieures n’a pas non plus commencé avec les écrans, mais avec la peinture. À lire dans Le Devoir.
Ce contenu a été mis à jour le 25 mai 2020 à 21 h 37 min.